Portrait du Périgord Central

Au cœur du département, le Périgord Central présente un paysage vallonné, aux horizons limités par les nombreux bois, parsemés de prairies et de petits champs. Lempzours

  LIMITES

Périgord Central carte limites

Au nord

Un relief plus affirmé, formant une marche ponctuée de bourgs en limite (Excideuil, Nontron, Thiviers) annonce le passage au Périgord Limousin granitique.

A l’est

Les points de vue s’ouvrent depuis les crêtes permettant de ressentir le basculement vers le bassin de Brive.

Au sud

Au sud-ouest, le basculement dans la vallée de la Dordogne marque la fin du Périgord Central. Vers le sud-est, le basculement vers la vallée de la Vézère est peu perceptible, formant une large transition dans les boisements.

A l’ouest

Au nord-ouest, le paysage s’ouvre largement avec les grandes cultures du Riberacois ou de la Charente en direction d’Angoulême. Au sud-ouest, une transition s’opère avec les paysages plus forestiers de la Double et du Landais.

  PORTRAIT SENSIBLE

Des limites toutes en transition

Les nombreux boisements forment des transitions douces entre le Périgord Central et les unités voisines comme ici vers le Périgord Limousin. Soudat

Hormis au sud où le basculement avec la vallée de la Dordogne est marqué ou bien à l’ouest (Ribéracois et Charente) où les grandes étendues de cultures ouvrent le paysage, sortir ou rentrer dans le Périgord Central se fait progressivement, sans limites franches. Le cloisonnement du paysage par les bois et les forêts fait passer en second plan les signes qui indiquent le changement d’unité : le passage du granite au calcaire, les changements dans la végétation ou les cultures, les toits de tuiles, les cultures entourées de boisements…

Un paysage intime de collines et de vallons, entrecoupés de bois

Les collines accueillent des clairières où cultures, prés, bois et constructions dispersées multiplient les sites à des échelles souvent intimistes. Agonac

Le Périgord Central se perçoit comme une succession d’ouvertures et de fermetures au fil des vallons et des collines. Les boisements, d’étendues variables, sont très présents et cloisonnent l’espace. Les limites visuelles sont souvent proches, s’arrêtant aux lisières boisées à proximité. Ce paysage offre des petits paysages intimes, dans lesquels on est immergé. Il se découvre en petites séquences qui forment un dédale au fil des « chambres » successives des petites clairières qui s’ouvrent autour d’un vallon, d’une ferme ou de quelques champs. Les ambiances sont répétitives mais différentes, comme de petites scènes successives qui se complètent et déclinent une variété de nuances.
De temps en temps, une vue plus lointaine s’ouvre, révélant une succession de collines étirées aux horizons forestiers. Ces horizons lointains restent rares et laissent une impression d’autant plus forte (Vers Cubjac ou bien Clermont-de-Beauregard par exemple, ou depuis les coteaux de la vallée de la Dronne).

De longues vallées comme repères

La vallée du Vern ouvre un large couloir qui oriente les vues et structure le paysage. St-Maime-de-Pereyrol

Dans ce paysage d’où rien n’émerge vraiment de manière évidente, les vallées créent des évènements. Les principales vallées forment des sillons ou des couloirs de grande longueur qui traversent et structurent le Périgord Central. Ces couloirs créent des ouvertures et des perspectives appréciables, qui donnent des directions et orientent le paysage. Ils constituent des repères précieux. Depuis leur coteau, c’est l’occasion de découvrir quelques panoramas, absents ailleurs dans les étendues boisées. Ces contrastes sont appuyés par des routes qui les suivent en pied de coteau ou en fond de vallée.

Une diversité de vallées aux ambiances spécifiques

La vallée de l’Isle, plus sinueuse, se dévoile progressivement par séquences successives au gré des méandres. Sarliac-sur-l’Isle

Si le paysage du Périgord Central est souvent similaire, par contre, chaque vallée principale apporte une touche unique. Leur largeur et leur faciès varient d’ailleurs pour chacune au fil de son parcours, entre l’amont et l’aval (profondeur, tracé, largeur). Ainsi par exemple, la vallée de la Vern est rectiligne, formant un large couloir agricole peu habité, avec un fond plat alternant prairies et cultures. Elle offre une ouverture, une rigueur et une clarté remarquable, mêlées à une certaine douceur avec ses coteaux arrondis plutôt symétriques, boisés et en prairie par endroits. Dans un tout autre registre, la vallée de la Dronne dévoile son charme au fur et mesure, au fil de ses méandres. Ici l’intimité du bocage et des prairies prévaut, modulant la perception des coteaux dissymétriques, abrupts localement, contrastant avec la boucle plane d’un méandre.

Des bourgs fédérés par les vallées principales

Fondée autour de son abbaye bénédictine, la ville de Brantôme s’est implantée sur une ile entre deux bras de la Dronne. Brantôme-en-Périgord

Globalement, les vallées principales fédèrent les bourgs ou les villages les plus importants qui ponctuent leur parcours. Ceux-ci établissent souvent un contact avec l’eau avec un pont, un quai, ou encore un front bâti. D’autres se tiennent un peu à l’écart en pied de coteau pour éviter la rivière en crue ou sur les hauts en situation défensive. Certaines vallées comme celle de la Vern sont beaucoup moins habitées, ce qui leur donne un coté plus unitaire agricole. Plusieurs bourgs importants (Excideuil, Nontron) se sont implantés, au nord du Périgord Central, au débouché de vallées descendant du Périgord Limousin.
Les autres villages, les hameaux et les fermes isolées se sont installés plutôt sur les vallonnements ou les petits plateaux, sans mode d’implantation spécifique. Dans ce paysage forestier pour partie, les silhouettes urbaines restent peu perceptibles de loin. On découvre souvent les villages quand on se trouve à proximité, des fois par surprise.
Autour de Périgueux, le paysage agricole est pour partie colonisé par l’urbanisation linéaire ou les lotissements de pavillons, lui donnant une autre tonalité. Périgueux et sa première couronne urbaine, oscillent entre zones d’activités et lotissements, traversés par des axes routiers et des pénétrantes à l’approche du centre ancien.

Périgord Central bloc-diagramme paysager
Périgord Central carte unité légendée


  Sous-unité : LES CAUSSES DE SAVIGNAC, CUBJAC ET THENON

Au cœur du Causse de Cubjac, la crête entre l’Auvezère et l’Isle offre une rare vue lointaine sur les paysages forestiers du causse. Cubjac-Auvezere-Val-d’Ans

Une tonalité plus aride et à l’écart

En entrant dans le causse une atmosphère particulière se révèle petit à petit. Les vues se referment un peu plus, les arbres deviennent plus petits, le sol semble plus sec, la géologie s’affirme avec les restes de murets ou les affleurements calcaires…. On est dans un autre monde, un peu isolé et à part. Le paysage est plus aride (hormis les vallées affirmées de l’Auvézère et de l’Isle qui le traversent), parfois désolé et perdu, mais non dénué de charme. Mais ce causse exprime aussi une certaine diversité en fonction du relief, du passage des vallées ou encore de l’épaisseur de la terre. Des clairières agricoles plus lumineuses, habitées ou non, s’ouvrent par endroits. Ces ouvertures sont plus étendues et habitées au sud de la sous-unité, vers Chourgnac et Gabillou, donnant des vues sur certaines silhouettes de villages. Les parcelles de prairies ou de cultures, parfois bordées de murets résultant de l’épierrage, peuvent être accompagnées de vergers de noyers ou de truffières. Un secteur de crête entre l’Auvezère et l’Isle offre des panoramas à la faveur des prairies ou des coupes forestières. Le couloir de ces vallées, favorisant le passage des routes principales peut également occulter toute perception de l’intimité des Causses.

  Sous-unité : L’AGGLOMERATION DE PERIGUEUX

L’influence de l’agglomération de Périgueux, marquée par un urbanisme résidentiel, se ressent sur un large périmètre autour de la ville-centre. La Douze

Autour de Périgueux, des axes de communication support d’un large développement urbain

Périgueux s’est installé à l’origine sur une avancée moins élevée du coteau de l’Isle, comme une terrasse, dans un méandre. La ville centre et les communes alentours se sont transformées au fil du temps générant un large développement urbain. Les coteaux les plus pentus sont restés boisés et forment des repères. Les activités se sont installées dans le fond plat de la vallée de l’Isle et le long des routes qui convergent vers le centre de Périgueux. Une urbanisation résidentielle qui s’est aussi étalée sur les reliefs et sur les crêtes, et bien au-delà dans les communes alentours plus rurales, en lotissement ou en urbanisation linéaire. Cela a transformé petit à petit la perception du paysage qui prend alors des tonalités « rurbaines ». L’approche de Périgueux s’effectue par des voies traversant un tissu de zones d’activités ou de faubourgs qui constitue la vitrine de l’agglomération. La rivière de l’Isle et son canal donnent une toute autre perception plus intime sur les arrières de l’urbanisation.

  Sous-unité : LE MAREUILLAIS

Le Haut-Ribéracois, présente un relief adouci, où alternent massifs forestiers et de vastes espaces cultivés. Varaignes

Des forêts entrecoupées de bonnes ouvertures, traversées de vallées

Dans cette frange ouest du Périgord Central, le relief s’adoucit et s’aplanit. Les boisements s’étendent largement, formant des massifs d’un seul tenant et avec des continuités. Entre ces massifs, les cultures s’étendent, ouvrant des larges vues, parfois panoramiques bordées d’un horizon boisé. De grosses fermes et des châteaux se répondent par endroit en covisibilité dans ces grandes clairières limitées par des lisières rectilignes. Les vallées parallèles, en direction de la Charente, fédèrent la majeure partie des bourgs et des villages les plus importants. Les vallées du Bandiat et de la Belle forment des couloirs évasés, relativement rectilignes, avec un fond plat et des coteaux doux peu élevés. La vallée de la Nizonne est plus fermée par la végétation, avec un fond plus étroit et intime et des coteaux localement abrupts sous l’action érosive de la rivière. Vers Paussac, le paysage prend ponctuellement des allures de causse, avec une forêt maigre de chênes noirs et de genévriers et des murets de pierre.


  LES ELEMENTS DU PAYSAGE

Les éléments liés à la roche et au relief

La falaise calcaire
Elle crée à ses abords une ambiance particulière par sa verticalité, parfois formant un abri avec son avancée arrondie. C’est une limite nette à la vallée, point de repère quand on peut la voir de loin. Bourdeilles
La carrière
Elle révèle la nature de la roche du sous-sol. Elle génère un univers minéral particulier par la fraicheur des fronts de taille ou des monticules d’extractions. Sorges-et-Ligeux-en-Périgord


Les éléments liés à l’eau

La rivière
On découvre la rivière souvent au dernier moment, au cours de sa traversée par une route. Une petite perspective lumineuse s’ouvre alors dans un paysage par ailleurs relativement intime. Elle compose également avec les abords de nombreux bourgs et villages, leur apportant un charme et fraicheur non négligeables. Cubjac-Auvézère-Val-d’Ans
La ripisylve
Dans les fonds de vallées offrant des ouvertures agricoles, la ripisylve qui accompagne le cours d’eau en signale la présence. Ste-Orse
Le pont
Au fil des routes, c’est bien souvent le seul lieu de visibilité de l’eau, lorsque la végétation le permet. Il y donne aussi parfois accès. Il permet d’avoir aussi un aperçu des rives des villages et des bourgs au contact de l’eau. Le rythme des arches des ponts sur la rivière crée toujours un appel visuel remarqué. St-Jean-de-Cole
Le lavoir
Un autre temps, d’autres usages mais toujours du charme pour ce petit patrimoine qui met en valeur l’eau, offrant un lieu de fraicheur l’été. Mareuil


Les éléments liés à la forêt

Le bois
De toutes tailles, les bois compartimentent et modulent les vues sur une bonne partie du Périgord Central. Mais ici point de grandes futaies transparentes, les taillis dominent et les sols imposent des arbres plus petits et touffus. Mensignac
La lisière
Elle est ici omniprésente et constitue tous les horizons, proches ou lointains. Quand les ouvertures s’agrandissent, la limite bois/champs apparait sur de plus longs linéaires, créant un contraste remarqué dans le paysage. Agonac
Le bosquet
Petit groupe d’arbres ou petits boisements peu étendu, il crée des ponctuations remarquées dans les espaces ouverts de grandes cultures ou les prairies, participant ainsi à la diversité des paysages. Soudat
La peupleraie
Les peupleraies sont de petites tailles mais forment tout de même quelques écrans dans les fonds de vallons ou de vallées. Leurs troncs verticaux forment des rythmes intéressants lorsqu’elles sont bien entretenues. Granges-d’Ans
Le petit bois de chêne pubescent
Caractéristique des causses, ces petits arbres au tronc sombre révèlent la nature plus aride et pauvre du sol. Accompagnée des pelouses calcaires, cette végétation nanifiée donne une autre échelle au lieu. Coulaures
La coupe
Les coupes forment des clairières temporaires, aux allures de friches pour un moment. Elles ouvrent également parfois des points de vue temporaires sur un vallon. Les tas de billes de bois témoignent d’une exploitation de la forêt et de sa gestion. Gabillou


Les éléments liés au champ

La clairière ou l’ouverture agricole
Après des passages aux vues limités par les arbres, les clairières, de tailles très variables, offrent respiration et lumière. Elles voient leur composition varier en fonction des cultures qui y prennent place et des fermes, donnant ainsi une diversité renouvelée. Lacropte
La prairie
Elle se retrouve dans de multiples situations, associé aux vallons ou sur les hauts, confirmant la polyculture qui est de mise dans le Périgord Central. Elles sont plus fréquentes sur la périphérie du Périgord Central indiquant une transition vers des terres plus dédiées à l’élevage. Elles apportent une permanence dans le paysage et en même temps une diversité. St-Maime-de-Pereyrol
Le champ
Les cultures participent au patchwork des parcelles. Les grandes cultures s’affirment par endroits et ouvrent plus largement les vues au sein de ce paysage pour moitié forestier. Sorges
Le tunnel de culture de fraises
Issu d’une dynamique de développement agricole spécifique, les longs tunnels blancs se remarquent dans les clairières agricoles autour de Vergt. Leur répétition dans le paysage arrive à constituer un élément de reconnaissance du Pays Vernois. Salon
La friche, la lande
Témoin d’une épaisseur moindre de terre, d’affleurements rocheux ou bien d’une déprise agricole, elle s’intercale sur les coteaux ou sur les hauts comme dans le Causse. L’ambiance est alors plus lumineuse et aride, donnée par une végétation bien différence (genévrier). Lisle
Le rideau, la haie
Ces lignes d’arbres souvent hétérogènes et résiduelles, en forme libre, ponctuent et cloisonnent les vues. Leur présence confère à la vallée un caractère intime pour les parties les plus arborées. Creyssac
L’arbre isolé
Il apporte une ponctuation particulièrement remarquée dans les parcelles de grandes cultures ou des prairies. Mensignac
Le verger de noyer
En verger ou en lignes ordonnées, les noyers apportent un graphisme et une rigueur au sein des clairières. On les remarque aussi par leur saisonnalité et leur débourrage tardif au printemps, puis leur puissant feuillage. Tourtoirac
La châtaigneraie
Les châtaigneraies apparaissent par endroits, en lisière d’un bois ou le long d’une route. Vues de loin, les arbres créent une succession de formes arrondies. Grun-Bordas
La truffière
Constitué d’arbres de plus petite taille ou taillés, leur graphisme pointilliste révèle la culture d’une autre richesse du Périgord : le diamant noir, de renommée internationale. La Chapelle-Gonaguet
La ferme
Isolées ou groupées en hameau plutôt sur les hauts, les fermes ponctuent les ouvertures agricoles dont elles participent à organiser l’espace avec leurs activités. De nombreuses fermes anciennes sont désormais des résidences principales ou secondaires. Leur présence anime ce territoire intime et lui donne une tonalité habitée. Mareuil
La cabane de pierre sèche
Issues de l’épierrage des parcelles, ces abris de pierre témoignent d’une valorisation agricole des terrains. Avec l’enfrichement des causses, elles se retrouvent parfois sous les arbres aujourd’hui. Sorges-et-Ligeux-en-Périgord
Le muret de pierre
Surtout caractéristique du causse, on le perçoit de nos jours de moins en moins, enfoui sous les arbres en raison de la déprise agricole. Issu de l’épierrage des champs, il délimite les parcelles, accompagne les chemins ou les routes. Il ajoute au charme de ces paysages plus aride de la Dordogne et témoigne de la géologie des sols. Gabillou


Les éléments liés à la route

La route de fond de vallée
Grand axe très fréquenté aux abords de Périgueux où l’effet de vitrine est important, ou bien petite route plus intime, les vallées sont empruntées de façon privilégiée par des routes qui en suivent le couloir d’un bout à l’autre. Grignols
La route en balcon
Quand le relief s’affirme et que la végétation ne forme pas d’écran, ces routes offrent des panoramas constituant alors un évènement bienvenu dans un paysage où les vues lointaines sont rares. Lisle
L’autoroute
Cette voie importante passe au sud de Périgueux. Elle forme une coupure physique dans le territoire, mais contribue également à créer de nouvelles zones urbaines ou d’activités près des échangeurs. Elle en donne également une perception particulière et cinétique à travers les longues perspectives qui tranchent avec les horizons limités par les boisements. Boulazac-Isle-Manoire
La route forestière
Entre les espaces agricoles, la traversée des forêts et des bois recentre l’attention sur la proximité de la route, les sous-bois et les lisières. Vallereuil
Le chemin forestier
Outils d’exploitation de la ressource bois, ce sont aussi des tracés utilisés par les promeneurs, donnant accès au territoire. Leur remise en état après les chantiers forestiers conditionne la qualité des parcours et l’image de marque de la filière bois. Sorges-et-Ligeux-en-Périgord
Le chemin agricole
Donnant accès aux parcelles agricoles, c’est aussi un moyen de découverte du territoire et de promenade de proximité pour les habitants. Cantillac


Les éléments liés au bâti

Le bourg au bord de l’eau
De nombreux villages ou bourgs se sont installés non loin de l’eau, ou directement à son contact, établissant une composition remarquée autour d’un pont, d’un lavoir ou d’un moulin qui participe à son pouvoir attractif. Cubjac
Le village sur les hauts
Perché sur une colline ou en haut d’un versant, il anime les ouvertures et donne une tonalité habitée. Il reste discret et de taille modérée avec pour certains seul le clocher qui émerge. Cela peut aussi être un hameau de quelques constructions. Lacropte
La place
Conservant une certaine simplicité dans ses aménagements, elle forme un espace central dans le village, planté ou non d’arbres. Elle constitue un espace public valorisant pour l’image du village. Varaignes
La halle
Sa structure ajourée donne une transparence à ce lieu de marché qui anime les places des villages. C’est un point de rencontre et de repère. Vergt
Le moulin
On le retrouve au fil des rivières, témoin d’un passé artisanal ou industriel. Il est accompagné d’un petit canal pour amener l’eau et en capter la force. Lisle
Le pigeonnier
Edifice isolé ou inclus dans un ensemble bâti, voire dans un bâtiment plus important, le pigeonnier, à l’architecture à chaque fois unique, attire toujours l’attention, rappelant un usage passé et un statut social. Grignols
Le château
Discret ou plus visible, c’est toujours un évènement remarqué dans le paysage de par sa stature et sa situation qui composent avec le site (crête, coteau, fond de vallée, bourg), révélant à mieux y regarder un passé historique passionnant. Ste-Orse

Voir aussi