Portrait du Bergeracois

Le Bergeracois offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Vignes, vergers et cultures composent des paysages variés entre les vallées de la Dordogne et du Dropt. Bergerac vue depuis Monbazillac

  LIMITES

Bergeracois carte limites

Au nord

Au-delà du coteau de la Vallée de la Dordogne, le passage au Landais s’exprime par un paysage de forêts et de clairières et la disparition des vignes.

A l’est

La vallée de la Dordogne se resserre fortement entre Varennes et Lalinde. Les coteaux proches forment alors un vis à vis boisé fort. La vallée devient un couloir plus restreint.

Au sud

La vigne disparaît pour laisser la place aux vallonnements des affluents du Dropt, qui forme pour partie la limite du département.

A l’ouest

La vallée de la Dordogne se resserre au niveau de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt. Les coteaux viticoles se prolongent en Gironde par les paysages similaires de l’Entre Deux Mers. Un vignoble étendu en fond de vallée s’étend au sud de la Dordogne en Gironde à l’est de Ste-Foy-la-Grande.

  PORTRAIT SENSIBLE

Une échelle et une ouverture du paysage souvent étendue

Le Bergeracois propose des paysages agricoles ouverts, aux larges horizons, qui contrastent avec les unités paysagères voisines, très boisées. Le plateau d’Issigeac et ses buttes. Boisse

Le Bergeracois offre un paysage globalement ouvert et cultivé, qui tranche avec les paysages cloisonnés par la forêt, du reste de la Dordogne. Ici, grandes cultures, vignes, prairies et vergers façonnent des paysages aux horizons souvent lointains, modulés certes par des écrans boisés ou urbains par endroits. Hormis dans le Ribéracois, dédié majoritairement aux grandes cultures, il reste rare dans le département de la Dordogne de retrouver ce type de perceptions.

La vigne, dénominateur commun du paysage

La vigne couvre de vastes superficies autour de Bergerac. Sa présence s’atténue progressivement vers le sud du Bergaracois. Vignoble de Pécharmant. Bergerac

La vigne s’étend sur les coteaux et dans les vallons affluents de la Dordogne, donnant au paysage une certaine constante qui participe à caractériser le Bergeracois. Même lorsqu’elle disparaît en grande partie du fond de la vallée de la Dordogne, pour laisser la place à la polyculture, sa présence sur les versants reste forte. La vigne couvre par endroits un vaste parcellaire, formant une monoculture au paysage très tenu, comme autour de Monbazillac. Ailleurs, elle se combine avec les bois et les cultures pour composer des paysages plus complexes. Sa présence s’atténue progressivement vers le sud du Bergeracois.

Une grande diversité de paysages, fédérée par la vallée de la Dordogne

Artère majeure du Bergeracois, la Dordogne reste peu perceptible sauf depuis d’anciens bourgs portuaires ou depuis les ponts. Mouleydier

Le Bergeracois articule plusieurs sous-unités offrant des ambiances différentes tant par l’échelle des reliefs que par la présence plus ou moins importante de la vigne ou encore en raison de la présence de boisements limitant les vues. Le plateau d’Issigeac étonne par son ouverture et sa platitude, formant un contrepoint aux vignobles et à la vallée. Au sud, les vallonnements constituent une partie de la vallée du Dropt à cheval sur le Lot-et-Garonne.
La vallée de la Dordogne forme l’artère majeure du Bergeracois, concentrant les voies de communication et les principales villes. L’écartement des versants offre de nombreux points de vue et révèle les débouchés des vallons secondaires. Par contre la rivière reste finalement peu perceptible depuis les coteaux ou au sein de son fond plat, accompagné de végétation qui coupe les vues.

Une urbanisation marquante et diversifiée

L’urbanisation est marquante dans la vallée de la Dordogne et tout particulièrement autour de Bergerac, où les extensions composent un paysage périurbain. Monbazillac

Bergerac et son développement urbain forment un vaste secteur aux ambiances particulières. L’agglomération de Bergerac est limitée en partie au sud par la RD 936 E1 et le vignoble. Le centre historique dense est finalement peu étendu au regard du reste de son développement en faubourgs, lotissements, urbanisation linéaires, industrie, caserne, manufactures, zones d’activités… Le passage des différents secteurs se fait sans lien évident ou transition. Cette composition complexe avec des sauts d’urbanisation forme des contrastes saisissants. Les parcelles agricoles intercalées composent une perception intermédiaire mi-rurale, mi-urbaine.
La Dordogne semble un peu à part dans tous ces développements, presque ignorée. Seul le centre historique de Bergerac établit une façade sur l’eau avec un quai. Globalement, les villages ne s’organisent pas en façade sur l’eau, formant des liens ténus avec la rivière, hormis un front bâti ou des digues avec un accès. Les autres bourgs du fond de la vallée, même plus éloignés ont eux-aussi vu leurs abords totalement transformés avec de nombreux lotissements, dont certains se sont implantés de façon isolés. Ces ponctuations oscillent entre animation du fond de la vallée et banalisation du paysage.

Le Bergeracois bloc diagramme paysager
Bergeracois carte unite légendée


  Sous-unité : LE PAYS DE VELINES

Le Pays de Vélines présente un paysage vallonné où vignes, bois, prés et cultures s’imbriquent. St-Vivien

Un territoire plus intime, vallonné et viticole

Cette sous-unité du Bergeracois s’étend en limite ouest du département, entre le coteau nord de la vallée de la Dordogne et l’étendue forestière du Landais. L’Estrop, affluent de la Dordogne orienté est/ouest, le fédère en un paysage vallonné. L’échelle intime laisse des ouvertures sur un petit parcellaire en patchwork imbriqué qui lui confère un certain charme. Les rangées des vignes s’allient dans la même vue aux boisements, aux prairies ou pelouses sèches, aux vergers, voire aux friches pour former une succession de tableaux évoluant au fil des déplacements. Les villages et les hameaux restent discrets, installés sur les hauts sur ou en bord de replats, au début de la pente. Une urbanisation plus récente, linéaire ou en petits lotissements, s’intercale dans le paysage.


  Sous-unité : LA VALLEE DE LA DORDOGNE BERGERACOISE

La vallée de la Dordogne s’élargit en pénétrant dans le Bergeracois, ses coteaux forestiers ou viticoles s’éloignant de 4 à 6 km l’un de l’autre. Monbazillac

Une large vallée bien lisible aux coteaux forestiers ou viticoles

Plus que partout ailleurs dans la vallée de la Dordogne périgourdine, l’ampleur est là, affirmée par l’ouverture des vues, due à l’absence de forêt et la présence des vignes basses sur le coteau sud ou une polyculture sur de grandes parcelles dans l’ample fond plat de la vallée. Les deux coteaux sont relativement éloignés, ce qui crée un recul qui offre de larges panoramas. Les coteaux proposent une certaine diversité. Au sud, ils se mettent ainsi particulièrement en scène, en belvédère sur le reste de la vallée avec les étendues de vignes qui lui donnent une belle unité. Le coteau nord, abrupt et plus boisé, propose une toute autre ambiance, plus intime, avec peu de points en belvédère sur la vallée.

Un fond de vallée diversifié où la Dordogne reste peu visible

A une unité apparente donnée par le relief, se substitue une perception plus composite et cloisonnée dans le fond de vallée. Les vues moyennes, plus intimes, s’ouvrent sur un panel de productions agricoles (polyculture, vergers) qui s’imbriquent. Cela donne à cette unité une perception renouvelée, alternant fermeture et ouverture, formant un dédale lâche avec les écrans de petits boisements, des vergers ou la ripisylve accompagnant les cours d’eau. La Dordogne reste peu perceptible, sauf au moment des traversées.

Une urbanisation omniprésente

L’urbanisation reste très présente. Bourgs, villages, hameaux, lotissements, constructions isolées ou linéaires, s’intercalent avec les parcelles agricoles. Il en est de même sous l’influence de Bergerac à la périphérie complexe avec une urbanisation, essaimée au coup par coup, créant des ambiances d’entre deux, mi rurale, mi urbaine, souvent sans logique apparente. Ce développement s’effectue tant à la faveur d’un réseau routier longitudinal à la vallée, que le long des routes secondaires, ou même le long de la Dordogne, formant les premiers plans et l’image des lieux depuis ces voies.
Seule la présence de la vigne a permis de conserver au sud de la Dordogne (Monbazillac) ou à l’est de Bergerac (Pécharmant) un certain ordre, limitant l’urbanisation, créant un contraste ordonné au sein de la vallée.


  Sous-unité : LES COTEAUX VITICOLES DU SUD BERGERACOIS

Au sud de la vallée de la Dordogne, les coteaux viticoles du sud Bergeracois, présentent un paysage vallonné où la vigne est ponctuée de bois et de fermes isolées. Pomport

D’amples vallonnements viticoles entrecoupés de cultures et de bois

Une fois le coteau sud de la vallée de la Dordogne franchi, les routes de crête ou en léger retrait laissent entrevoir les coteaux viticoles s’étendant plus au sud. Ceux-ci, animés par la Gardonnette et ses affluents, montrent d’amples vallonnements couverts de grandes parcelles viticoles, ponctuées de fermes isolées et de bosquets. La vigne devient progressivement plus discontinue en allant vers le Dropt, formant ainsi un patchwork avec des boisements, des prairies ou des cultures. Depuis les hauts, les horizons sont plans et étirés, et les vues assez étendues en raison des vignes qui ne forment pas d’obstacles. Celles-ci s’étendent globalement jusqu’à la ligne de partage des eaux avec le Dropt plus au sud. La vallée à fond plat de la Gardonnette apporte un contraste en formant un couloir plus intime de prairies et de cultures. Les villages, les hameaux ou les fermes s’éparpillent dans le paysage, évitant souvent, tout comme les routes principales les fonds de vallons.


  Sous-unité : LE PLATEAU D’ISSIGEAC ET LES VALLONS DU DROPT

Le plateau d’Issigeac offre un paysage de grandes cultures aux horizons lointains. St-Aubin-de-Lanquais

Un plateau ouvert et ondulé ponctué de petites buttes

Le plateau d’Issigeac forme un contraste fort au sortir de la vallée de la Dordogne et de ses vignobles. Ici un tout autre ordre, plus dénudé et simple, s’impose. Les vues s’ouvrent largement et l’horizon se tend. De grandes parcelles de cultures s’installent à perte de vue, ponctuées de rares arbres ou de quelques bois qui forment des jalons. La roche calcaire blanche affleure dans le sol. Plusieurs petites buttes forment de petits belvédères. L’habitat isolé ou les hameaux sont peu fréquents. Les villages se sont plutôt installés en périphérie du plateau non loin des rivières ou des vallonnements. Les routes tracent de longues perspectives rectilignes. Issigeac, bastide en bordure de la Banège, dont le vallon forme une pause dans les grandes cultures, montre un univers urbain avec son plan ordonné. De petits sites préhistoriques avec des dolmens ponctuent ce territoire apportant une touche de mystère.
Au nord-est du plateau, la vallée de la Conne menant à la vallée de la Dordogne, accompagnée de boisements presque continus, crée un paysage de fond de vallée plat ouvert mais de ce fait intime, à l’écart.

Des vallons et des vallées en polyculture mêlant intime et vue plus large

Au sud du plateau d’Issigeac, le paysage devient plus vallonné ce qui indique le passage au bassin versant du Dropt et de ses vallons affluents. Alliés au relief, les boisements sur les pentes ou les crêtes, une polyculture mêlant cultures, prairies et vergers instaurent un paysage varié et changeant, avec une alternance de vues intimes ou plus étendues. Les villages, les hameaux et les fermes disséminés sont plutôt situés sur les hauts et les têtes de vallons, sauf la bastide d’Eymet directement au bord du Dropt.




  LES ELEMENTS DU PAYSAGE

Les éléments liés à la roche et au relief

La butte
Petits reliefs isolés d’une vingtaine de mètres de hauteur, les buttes animent les étendues de grandes cultures du plateau d’Issigeac dont la platitude les fait ressortir et les rend singulières. Elles comportent souvent un boisement ou une ferme à leur sommet. Boisse
Le dolmen
Ces édifices préhistoriques se retrouvent à plusieurs endroits sur le plateau d’Issigeac. Parfois pas si simples à trouver, ces pierres agencées sont de taille modeste, posées sur une simple parcelle, interrogeant notre passé. Faux


Les éléments liés à l’eau

La rivière
La plus importante est la Dordogne mais paradoxalement elle ne se voit que très peu de loin. Il faut s’approcher de ses berges, souvent à travers la végétation arborée qui l’accompagne ou l’urbanisation qu’elle borde, pour découvrir l’ouverture sur l’eau et la perspective de la rivière. Ailleurs, les rivières plus modestes bénéficient d’un cadre intime dans les fonds, entaillant les coteaux, ou tutoyant aussi par endroits les villages. Gardonne
Le pont
Ouvrage majestueux sur la Dordogne, point de traversée au niveau des bourgs, il constitue un des points de vue majeurs pour découvrir la rivière, très discrète dans le paysage. Il permet d’avoir aussi un aperçu des rives des villages et des bourgs au contact de l’eau. Ailleurs, il donne également une visibilité des cours d’eau dans un cadre plus intime. Bergerac
Le port
Témoins d’un usage de la Dordogne pour la navigation et le commerce, des traces ou des aménagements sont encore visibles (cale, rampe) au fil de l’eau en relation avec les bourgs et les villages. Bergerac
La ripisylve
Dans les paysages ouverts des fonds de vallée et des vallons, cette ligne d’arbres indique le passage de la rivière au sein des prairies ou des cultures. Port-Ste-Foy-et-Ponchapt
Le canal
Parallèle à la Dordogne, le canal de Lalinde a été construit pour éviter les rapides sur la rivière et faciliter la navigation. Souligné et ombragé de platanes majestueux, cette voie d’eau a conservé une ambiance singulière. Son tracé est ponctué d’évènements tels que les écluses, les ports ou le pont canal. St-Capraise-de-Lalinde


Les éléments liés à la forêt

Le bosquet
Petit groupe d’arbres ou petits boisements peu étendu, il crée des ponctuations remarquées dans les espaces ouverts de grandes cultures ou bien au sein des vignobles, participant ainsi à la diversité des paysages. Pomport
Le coteau boisé
Il forme une ligne de repère plus sombre depuis le fond de la vallée de la Dordogne. Une fois dedans, les vues sur la vallée sont moins aisées. Monbazillac
La peupleraie
Les peupleraies sont de petites tailles mais forment tout de même quelques écrans dans la vallée de la Dordogne. Leur grande hauteur les rend visible de loin. St-Pierre-d’Eyraud
La lisière
En limite des grandes cultures du plateau d’Issigeac vers l’est ou bien au nord de la Dordogne, les lisières sont plus prégnantes et fréquentes, marquant le passage à d’autres unités paysagères. Monsac


Les éléments liés au champ

La vigne
Elément phare du Bergeracois, voire de la totalité du département, la vigne s’étend largement dans le paysage. Le vignoble revêt de nombreuses tonalités, offrant des ambiances intimes en patchwork avec les bois et les cultures ou couvrant de vastes étendues ouvertes. Cunèges
Le champ
Caractéristique des environs d’Issigeac ou du fond de la vallée de la Dordogne, il donne au paysage un aspect plan plus tendu, ouvrant de larges vues et donnant à voir au moment des labours la nature des sols. Port-Ste-Foy-et-Ponchapt
Le verger
Les lignes des fruitiers apportent un graphisme dans la plaine alluviale du fond de la vallée de la Dordogne. Au sud, les vergers de prune d’Ente et de noisette annoncent la transition vers le Lot-et-Garonne. Dans la vallée de Dordogne, les vergers de pommiers aux formes palissées, s’accompagnent souvent de filets les protégeant des intempéries dont l’impact visuel peut être important lorsqu’ils sont de couleur claire. St-Seurin-de-Prats
La prairie
Elle s’intercale dans les vignes, les cultures du fond de la vallée de la Dordogne ou les boisements des coteaux. Elle forme ainsi une ouverture dans la végétation permettant au regard de passer. Elle apporte également une diversité dans le patchwork des parcelles. Naussannes
La haie, le rideau
Ces lignes d’arbres souvent hétérogènes et résiduelles, en forme libre, se rencontrent par endroits dans les fonds de vallée, limitant l’horizon et donc la profondeur des vues. St-Julien-d’Eymet
La ferme
Isolées ou groupées en hameau, les fermes ponctuent l’étendue des cultures ou du vignoble, accompagnées de chais. Certaines, plus cossues, témoignent de la prospérité apportée par la viticulture. Monbazillac
Le chemin
Donnant accès aux parcelles agricoles, c’est aussi un moyen de découverte du territoire et de promenade de proximité pour les habitants. Faux


Les éléments liés à la route

L’axe de fond de vallée
La RD 660 et la RD 936 constituent les axes majeurs du fond de vallée, influençant l’évolution de leurs abords, créant des ambiances particulières liées à l’affluence et ayant un effet vitrine important. St-Antoine-de-Breuilh
La route de crête ou en balcon
Elle offre de larges vues panoramiques comme depuis le coteau sud de la vallée de la Dordogne ou depuis les crêtes des coteaux viticoles. Fonroque
La petite route de fond de vallée
Elle permet de découvrir le fond de vallée à une autre vitesse, pour donner une toute autre perception de l’étalement urbain mêlé à l’agriculture, par rapport aux grands axes, mais aussi d’approcher ou longer la Dordogne. St-Seurin-de-Prats


Les éléments liés au bâti

Le bourg de vallée
Plusieurs villes, bourgs et villages se sont installés au bord de la Dordogne. Rares sont ceux qui offrent un front bâti composé le long de la rivière, dont il fallait se protéger des crues. Certains établissent un contact plus prononcé avec l’eau grâce à un port ou à un pont. Mouleydier
Le village de versant
De nombreux villages sont situés sur les hauts, en crête ou sur un versant. Ils forment des repères dans le paysage tout en gardant une certaine mesure en se fondant dans le paysage. St-Julien-d’Eymet
La bastide
Avec son plan rigoureux de voies « au carré », sa place centrale avec parfois une halle ou une fontaine, ses portes d’entrée, la bastide garde aujourd’hui un pouvoir très attractif. Eymet
La place
Conservant une certaine simplicité dans ses aménagements, elle forme un espace central dans le village, planté ou non de quelques arbres. Elle constitue un espace public important pour l’image du village. Issigeac
Le clocher
Le plus marquant est celui de Bergerac qui forme un point de repère et de mire dans la vallée de la Dordogne. La plupart sont moins prégnants et ne se découvrent qu’à proximité du village dont ils indiquent le centre. Bergerac vue depuis Monbazillac
Le château
Ils sont surtout liés au vignoble et plutôt implantés sur le coteau sud, dont certains (Monbazillac) en belvédère sur la vallée de la Dordogne. Bien visibles, ces édifices remarquables participent à l’image du Bergeracois. Monbazillac
Le moulin
Ces petites constructions, dont il ne reste parfois que les fondations en sommet de colline, ponctuent le vignoble, témoignant de l’utilisation du vent pour transformer les récoltes. Sigoules

Voir aussi