Repères géographiques du Périgord Noir

  RELIEF ET EAU

Périgord Noir carte relief et eau

Un plateau vallonné

Le Périgord Noir forme un plateau vallonné où les altitudes moyennes sont comprises entre 200 et 260 m. Comme dans le reste du département de la Dordogne, la pente générale descend depuis le nord-est vers le sud-ouest. Les points les plus élevés du Périgord Noir se situent à l’est, dans le Causse de Terrasson (Point culminant à 353 m sur les Coteaux Périgourdins) et au sud, où une dorsale de reliefs au-dessus des 300 m (352 m à Besse) en limite départementale marque le basculement vers la Bouriane au sud. Le point le plus bas (39 m à Varennes) est logiquement situé dans la vallée de la Dordogne en limite ouest du Périgord Noir.
Au nord-ouest, une ligne de crête plus élevée entre le bassin de l’Isle et celui de la Vézère forme une ligne de collines atteignant les 250-290 m, séparant le Périgord Central du Périgord Noir.

Deux grandes vallées

La Dordogne et son affluent la Vézère, drainent ce territoire. Les deux rivières ont sculpté des vallées profondes, qui entaillent le plateau de 150 à 180 m, dégageant de nombreuses falaises calcaires. Les profils des deux vallées varient, alternant des secteurs de vallées larges (Fond de vallée de la Dordogne large de 2 km à St-Cyprien, large de 1.2 km au Bugue pour la Vézère) et d’autres plus étroits (Fond de vallée large de 500 m à La Roque-Gageac pour la Dordogne, large de 300 m aux Eyzies pour la Vézère). Le cours des deux rivières est marqué par de nombreux méandres, dont certains forment des cingles réputés (Trémolat, Limeuil, Montfort sur la Dordogne, Tursac sur la Vézère). Les deux vallées alternent également des sections plutôt rectilignes avec d’autres très sinueuses. Dans la vallée de la Dordogne, on observe par endroits la présence de couasnes (anciens lits de la rivière formant des bras morts) qui délimitent des iles dans le fond de vallée.

Les vallées sèches du Causse

Sur les calcaires durs des causses, le plateau présente des secteurs tabulaires, entaillés de vallées sèches profondes en forme de gorges, à fond plat, bordées par des versants raides découvrant la pierraille calcaire et la roche nue. Les petits ruisseaux de la Borrèze et du Coly sont parmi les seuls éléments actifs des causses du Périgord Noir.
Les bois occupent les pentes des vallons et les terrains maigres du plateau, contribuant à la mosaïque paysagère très diversifiée du Périgord Noir.

Le Périgord Noir forme un plateau vallonné, aux altitudes moyennes comprises entre 200 et 260 m, drainé par la Dordogne, la Vézère et leurs nombreux affluents. Les deux rivières ont sculpté des vallées profondes, qui entaillent le plateau de 150 à 180 m, dégageant de nombreuses falaises calcaires.
Au premier-plan, la Vézère et le cimetière St-Martin ; en second-plan, la Dordogne ouvre une large vallée avec ici les cingles de Limeuil et de Trémolat ; au centre la confluence des deux rivières en contre-bas du bourg de Limeuil, implanté sur un éperon escarpé.

  ROCHE ET SOL

Périgord Noir carte géologique

La partie haute des plateaux du Périgord

Le Périgord Noir correspond au sud du plateau crétacé (C2, vert clair sur la carte) nommé plateau du Périgord sur la carte géologique, venant au contact des causses jurassiques (j2, j3, bleu sur la carte) qui se généralisent dans le département du Lot, et des plateaux tertiaires du Bergeracois (g, e2, jaune sur la carte) vers l’ouest. Le relief est mis en valeur car cette partie du plateau est plus haute que dans le nord du département. De plus, les bancs de calcaires massifs y sont épais et les vallées moyennes de la Vézère et de la Dordogne s’y sont enfoncées assez profondément, ainsi que leurs affluents.

Beaucoup de formes karstiques mais peu de causses

Comme dans le Périgord Central, le contact avec les formations Jurassiques se traduit par des différences paysagères peu marquées. Sur les pentes ensoleillées du Sarladais, les calcaires crétacés peuvent donner des sols aussi secs que ceux des causses voisins. Plus encore, dans cette partie du département renommée pour ces grottes et parois façonnées dans les calcaires massifs, les phénomènes karstiques les plus visibles se trouvent dans le domaine crétacé et non pas dans le Jurassique. La presque totalité des cavités connues pour leurs vestiges préhistoriques se trouvent en effet dans les épaisses couches de calcaires crétacés, notamment du Coniacien, de même que les falaises et corniches spectaculaires qui bordent les vallées de la Vézère et de la Dordogne. Il faut passer dans le Lot pour que le Quercy prenne vraiment des allures de causse tandis que celui-ci n’effectue en Dordogne que quelques incursions sensibles, notamment vers Daglan.

Une diversité de conditions favorisant la mosaïque écologique

Les lambeaux de couverture tertiaire dont les surfaces augmentent à l’approche du Bergeracois, et les altérations assez profondes qui affectent les couches affleurantes sur les plateaux se combinent aux reliefs (pentes, exposition) pour élaborer la mosaïque écologique qui caractérise cette unité. La diversité peut aller des stations sèches de landes subméditerranéennes mêlées de chênes verts (Sarladais) aux sols sablo-argileux plus profonds des forêts de chênes pédonculés en partie replantées en pins maritimes (Bessède). Plus discrètement, des pelouses sèches signalent les sols plus filtrants des calcaires jurassiques. Enfin, les alluvions moins calcaires et à forte teneur en sable des fonds de vallées, forment des plaines cultivées parfois étendues sur plusieurs kilomètres de large, tandis que sur les versants, l’inégale proportion des surfaces cultivées actuelles reflète la diversité des conditions édaphiques.

Le Périgord Noir correspond au sud du plateau crétacé venant au contact des causses jurassiques qui se généralisent dans le département du Lot, et des plateaux tertiaires du Bergeracois vers l’ouest. Le relief est mis en valeur car cette partie du plateau est plus haute que dans le nord du département. De plus, les bancs de calcaires massifs y sont épais et les vallées de la Vézère et de la Dordogne s’y sont enfoncées assez profondément, ainsi que leurs affluents.
Des pelouses sèches signalent les sols plus filtrants des calcaires jurassiques, comme ici dans le causse de Daglan. Au premier plan la RD 50 à travers la Combe Longue, sur la commune de Castelnaud-la-Chapelle.

  AGRICULTURE

Périgord Noir carte agriculture

Les espaces agricoles forment des clairières sur des replats sommitaux du plateau et occupent de nombreux fonds de vallons et de vallées.

Une terre d’élevage et de polyculture

L’agriculture du Périgord Noir est très diversifiée, polyculture et polyélevage valorisant une palette de sols et de climats variée. L’élevage est majoritairement tourné vers les bovins viande (limousine et blonde d’Aquitaine), accompagné d’élevage ovin, très présent sur les causses. En complément, les ateliers d’élevage de volailles grasses ou maigres et ponctuellement de porcs, sont fréquents.
Les prairies sont logiquement majoritaires et les cultures sont le plus souvent fourragères.
Les cultures de tabac, sont encore présentes dans le Périgord Noir, même si les superficies sont en régulière diminution.

Les noyeraies sont très présentes en Périgord noir qui est entièrement compris dans l’aire AOC « noix du Périgord » ; la densité de noyers augmentant dans la moitié est de l’unité. On les retrouve sous forme de verger, mais également de lignes de fruitiers ou en isolé.

De grandes vallées agricoles

Les grandes vallées de la Dordogne et de la Vézère présentent un fond de vallée majoritairement occupé par la polyculture (maïs et autres céréales, prairies, noyers).

L’agriculture aride des causses

Les causses présentent une palette de productions spécifiques adaptées à l’aridité du milieu et à la pauvreté des sols. Les clairières agricoles des quelques dolines sommitales ou les fonds de vallons secs sont ainsi voués aux prairies pour l’élevage ovin, à quelques parcelles de céréales, à des vergers de noyers et à des parcelles de chênes truffiers.

L’élevage est majoritairement tourné vers les bovins viande (limousine et blonde d’Aquitaine), accompagné d’élevage ovin, très présent sur les causses. En complément, les ateliers d’élevage de volailles grasses ou maigres et ponctuellement de porcs, sont fréquents. Les prairies et les cultures fourragères forment des clairières sur des replats sommitaux du plateau et occupent de nombreux fonds de vallons et de vallées.
Au centre, la vallée de la Beune forme un sillon agricole aux versants forestiers. A droite, les hameaux et les fermes occupent des clairières sommitales ; au premier-plan le hameau de la Beune Basse (la Chapelle-Aubareil) ; en arrière, le hameau de la Garrigue (Tamniès).

  ARBRE ET FORET

Périgord Noir carte arbre et forêt

Un territoire forestier

Le Périgord Noir est incontestablement un pays de forêt. Celle-ci est omniprésente jusqu’à atteindre 52 % de la couverture en certains points du territoire. Forêts et bois sont répartis sur l’ensemble de l’unité, même si certains territoires se démarquent par une couverture forestière plus importante comme le causse de Terrasson ou le massif de la Bessède.
Seuls les fonds des grandes vallées, Dordogne, Vézère et dans une moindre mesure le Céou et le Vimont, créent des discontinuités lisibles dans le couvert forestier du Périgord Noir.
Les bois occupent les pentes des vallons et les terrains maigres du plateau, contribuant à la mosaïque paysagère très diversifiée du Périgord Noir.
Si l’essentiel de la forêt est privée, le Périgord Noir possède également quelques forêts publiques : la forêt du Maine au sud-ouest de Lalinde, la forêt de La Bessède, la forêt départementale de Campagne, les forêts communales de St-André d’Allas et des Eyzies.






Périgord Noir carte peuplement forestier

Une forêt très diversifiée

Les feuillus dominent, notamment le chêne pubescent, le châtaignier et le chêne rouvre. Le pin maritime occupe également une place importante dans les forêts mélangées et les forêts de conifères. A l’ouest du causse de Daglan, le massif forestier de la Bessède est étendu sur un vaste plateau et composé pour l’essentiel de l’association pin maritime-taillis châtaignier. On y trouve les reliques de vieilles futaies de pin maritime autrefois gemmé, de même que d’anciennes châtaigneraies à fruit.
Enfin, on observe la présence de quelques peupleraies dans la vallée de la Dordogne ainsi que plus ponctuellement dans de petites vallées affluentes.

Des causses forestiers

Jusqu’à la crise du phylloxéra, les vignes occupaient une partie importante des sols calcaires des causses. Depuis l’abandon de ces cultures à la fin du XIX è siècle, les causses sont très forestiers. La chênaie pubescente domine. Ses formes "rabougries", sa répartition plus ou moins dense en alternance avec des landes et des pelouses rases sont typiques des paysages des causses relativement sauvages.

Des peuplements relictuels

La nature des roches et l’exposition des versants conditionnent énormément les microclimats. La roche calcaire capte bien la chaleur et le relief très vallonné multiplie les expositions : ce milieu sert de refuge à des espèces végétales relictuelles comme le chêne vert ou le hêtre, dont la présence témoigne d’époques où le climat leur était favorable. Ainsi le chêne vert, typiquement méditerranéen, s’est installé à la faveur d’un réchauffement climatique et n’a pu se maintenir que dans les secteurs les plus chauds : pentes calcaires exposées au sud et quelques stations isolées. Dans une moindre mesure le chêne liège est dans ce cas. Le hêtre, typiquement continental, s’est quant à lui installé en période plus froide et humide et s’est maintenu dans des stations isolées sur des versants exposés au nord, tout comme le bouleau ou le pin sylvestre. Ce dernier occupe la niche du hêtre mais dans les secteurs plus secs.

La forêt est omniprésente jusqu’à atteindre 52 % de la couverture en certains points du Périgord Noir. Forêts et bois sont répartis sur l’ensemble de l’unité, même si certains territoires se démarquent par une couverture forestière plus importante comme le causse de Terrasson ou le massif de la Bessède.
Au centre dans la clairière, la ferme des Cinq Castangs et le hameau de Cumont, sur la commune du Bugue. Les bois occupent tous les versants pentus et les terres maigres.

  URBANISME

Périgord Noir carte urbanisation

De grandes vallées qui concentrent bourgs, villages et voies

Les vallées de la Dordogne et de la Vézère sont des voies de pénétration aisées qui ont favorisé depuis longtemps la circulation et les implantations humaines, comme en témoignent les nombreux sites préhistoriques (abris sous roche) ou moyenâgeux (castelnaux) qui ont profité des positions défensives offertes par les grandes falaises calcaires. Villes (Lalinde, Le Bugue, Montignac), bourgs (Le Buisson-de-Cadouin, Siorac-en-Périgord, St-Cyprien…) et villages se sont implantés dans la vallée, valorisant une position de passage liée à la route, au port, à un pont ou à la voie ferrée.
De nombreuses voies empruntent les vallées de la Dordogne et de la Vézère mais également de leurs affluents : la Couze, la Nauze, le Céou, le Manaurie, la Beune, le Vimont, le Coly…

Une rivière navigable

La Dordogne a pendant longtemps servi de voie de communication entre Auvergne et Aquitaine. De nombreux bourgs ont ainsi prospéré en bord de rivière autour d’un port (La Roque-Gageac, Limeuil, Lalinde). Mais la Dordogne n’était navigable que pendant certaines périodes, essentiellement le printemps et l’automne. Pour faciliter la navigation sur la Dordogne, le canal de Lalinde fut creusé de 1838 à 1843 entre Mauzac et Tuilières.

Des villages en hauteur dans les collines

Dans les collines, les bourgs, les hameaux et les fermes isolées occupent principalement des clairières sur les sommets et les parties supérieures des versants. Les constructions anciennes ont souvent des murs en pierre calcaire couleur de miel et les toits à forte pente couverts de tuiles plates ou à Sarlat et ses environs de lauzes calcaires.
Les causses se distinguent par leur très faible densité d’habitat, les fermes et hameaux étant souvent distants de 1.3 km.

Sarlat-la-Canéda

Construite autour d’un monastère dans le vallon étroit de la Cuze, à distance des grandes vallées, la ville de Sarlat était restée à l’écart de grandes infrastructures du XIXe siècle. La ville a explosé au XXe siècle, s’étirant sur plusieurs kilomètres dans la vallée et diffusant largement dans les collines des communes voisines, créant une large auréole périurbaine.

Les vallées de la Dordogne et de la Vézère sont des voies de pénétration aisées qui ont favorisé depuis longtemps la circulation et les implantations humaines. De nombreux bourgs ont ainsi prospéré en bord de rivière autour d’un port (La Roque-Gageac, Limeuil, Lalinde).
La ville de Sarlat-la-Canéda, implantée dans le vallon étroit de la Cuze, a explosé au XXe siècle, s’étirant sur plusieurs kilomètres dans la vallée et diffusant largement dans les collines des communes voisines, créant une large auréole périurbaine. Au premier-plan, les zones d’activité sud et le quartier de la gare ; en second-plan, à droite les faubourgs et la ville ancienne, à gauche l’urbanisation diffuse des collines.

  PATRIMOINE

Périgord Noir carte patrimoine cuturel

Un patrimoine culturel exceptionnel

La concentration sur le Périgord Noir des sites inscrits et classés est proportionnelle à la densité du patrimoine que recèle cette unité. La reconnaissance du Périgord Noir est d’abord liée à ses deux vallées principales, Dordogne et Vézère. Cette reconnaissance est internationale, grâce au patrimoine exceptionnel, dont les sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère, inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

De nombreux sites classés et inscrits couvrent les paysages emblématiques des deux vallées : sites classés de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes, de la Ferrassie, de la grotte de Rouffignac, cingles de Limeuil et de Trémolat, bourg de Pontours, Grotte de Cussac, et le site inscrit de la Vallée de la Vézère qui accompagne le cœur de Vallée classée.
En dehors des deux vallées, les sites classés et inscrits sont également nombreux : Vallée de l’Enea, centre ancien de Sarlat, bourgs de St-Avit-Sénieur, de Biron, de Belvès, de Montferrand-du-Périgord, de Daglan, de St-Martial-de-Nabirat, de Salignac, de St-Amand-de-Coly, de Bourniquel, bastides de Monpazier, de Villefranche-du-Périgord, Cabanes de pierre du Breuil à St-André-d’Allas…
Plusieurs Sites Patrimoniaux Remarquables (ex-ZPPAUP / ex-AVAP) couvrent également de vastes secteurs à St-Cyprien, Monpazier, La Roque-Gageac, Domme, Biron…



Périgord Noir carte patrimoine naturel

Un patrimoine naturel contrasté

Plusieurs Znieff couvrent des milieux très variés dans le Périgord Noir. Il s’agit des milieux secs des causses calcaires de Daglan et de Terrasson, des falaises calcaires des grandes vallées mais également des milieux humides (prairies humides, vallées bocagères, bras morts de rivière, tourbières).
Plusieurs périmètres Natura 2000 couvrent des sites d’intérêt communautaire : le tunnel de Saint-Amand-de-Coly, la vallée des Beunes, les coteaux calcaires de la vallée de la Vézère, la rivière Vézère, la vallée de la Dordogne.
Les falaises de la Dordogne, de la Vézère sont d’un intérêt exceptionnel par la présence du grand corbeau ou du faucon pèlerin. Certaines grottes abritent des colonies de chauve-souris faisant l’objet d’une protection européenne : murins, rhinolophes... La forêt étendue de la Bessède développe un effet de massif favorable à des espèces à grand territoire (cerf, autour des palombes...
L’ensemble du bassin de la Dordogne a été classé Réserve de Biosphère par l’UNESCO en 2012. A cette occasion le bassin de la Dordogne a intégré le Réseau mondial des Réserves de biosphère qui en 2020 rassemble 701 sites d’exception à travers les cinq continents.
Les Réserves de biosphère sont des « lieux d’apprentissage » du développement durable. Ce sont des sites où l’on teste des démarches innovantes qui concilient conservation de la biodiversité, valorisation culturelle et développement économique et social.

La reconnaissance du Périgord Noir est d’abord liée à ses deux vallées principales, Dordogne et Vézère. La reconnaissance est internationale, grâce au patrimoine exceptionnel, dont les grottes ornées de la Vézère, inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. La concentration sur le Périgord Noir des sites inscrits et classés, d’AVAP ou de ZPPAUP, est proportionnelle à la densité du patrimoine que recèle cette unité.
La bastide de Domme, fondée en 1280, domine la vallée de la Dordogne. Elle bénéfice d’une ZPPAUP depuis 1994 (révisée en 2008) couvrant près de 1 418 ha, protégeant l’intégrité de ce site remarquable. Au premier-plan le bourg de Cénac implanté dans un vallon en pied de versant. Au second-plan le versant boisé très raide du mont de Domme domine le grand méandre de la Dordogne par un abrupt de 140 m. On note l’emplacement de l’ancien château au bout de l’éperon. Sur le coteau, la bastide de Domme déploie ses rues au maillage régulier.



  BIBLIOGRAPHIE

- Grand Site de France Vallée de la Vézère
- Les sites de la vallée de la Vézère
- SCOT Bergeracois, Etat initial de l’environnement, 2019
- Atlas des paysages de Lot-et-Garonne, CD 47, 2016
- Saint-André-Allas - diagnostic communal, CAUE 24, 2016
- Atlas départemental des sites Dordogne, DREAL Aquitaine, SDAP 24, 2010
- Etude en vue de la gestion et de la protection paysagère de la Vezère, DIREN Aquitaine, 2008
- ZPPAUP de La Roque-Gageac, DRAC Aquitaine, 2008
- ZPPAUP de Vitrac, DRAC Aquitaine, 2008
- ZPPAUP des Eyzies-de-Tayac, DRAC Aquitaine, 2008
- ZPPAUP de Domme, DRAC Aquitaine, 2008
- ZPPAUP de Belvès, DRAC Aquitaine, 2008
- ZPPAUP du Canal de Lalinde, DRAC Aquitaine, 2006
- Cahiers d’identité architecturale et paysagère du Pays du Périgord Noir, CAUE 24, 2004
- Etude préalable à l’élaboration de documents d’urbanisme. Communauté de communes Causses et Vezère, non daté
- Document de référence préalable à l’établissement d’une charte des paysages, DDE24, Diren Aquitaine, 1999
- ZPPAUP de Saint-Cyprien, DRAC Aquitaine, 1997
- ZPPAUP de Castelnaud-la-Chapelle, DRAC Aquitaine, 1995
- ZPPAUP de Monpazier, DRAC Aquitaine, 1995
- Plan de paysage de la vallée de la Dordogne, Diren Aquitaine, 1994
- ZPPAUP de Biron, DRAC Aquitaine, 1994
- ZPPAUP de de Beynac-et-Cazenac, DRAC Aquitaine, 1994
- ZPPAUP de Cénac-et-Saint-Julien, DRAC Aquitaine, 1994

Voir aussi